lundi 10 mars 2008

LIVE : dans les coulisses de l'ESJ


Sans se regarder trop le nombril, nous vous proposons de suivre ici la soirée telle que nous la vivons à l'ESJ : réactions d'invités en sortie de plateau télé, ou à la sortie de la radio. Et, bien entendu nos petites et grandes joies.

03h00: Nous en sommes témoins, seuls Jérémy Marot et Flore Thomasset tentent d’effacer les « stigmates » de la soirée électorale. Ainsi les voilà-t-il, à une heure « pas possible de la nuit », en train de nettoyer le hall qui a servi, à la fois de buffet et de défouloir à vos serviteurs. Vos serviteurs qui vous donnent rendez-vous dans les prochaines heures. À tout de suite…
02h30: Enfin le voilà ! Pardon, le revoilà La Pression de Mars ornant de nouveau les murs du hall de l’Esj. Cela à une heure tardive de la nuit. C’est vous dire combien les étudiants de l’Esj tiennent à leur promesse qui consiste à mettre entre vos mains, et à tout prix, les meilleures infos qui soient. Et ce n’est pas fini…
02h00: Directeur des études à l’Esj, Pierre Savary, les yeux rougis par la fatigue, finit, à une heure avancée de la nuit, par reconnaître « la belle gueule des différentes réalisations signées mes protégés ». Voilà une impression qui fait chaud au coeur en cette froide nuit des municipales 2008. Il était temps Monsieur le Directeur…
01h50: C’est malin ! Au moment où les « journaleux» de La Pression de Mars peinent à boucler leur édition et les bloggers de Chroniques de Mars peaufinent leurs « primeurs », Imanol Corcostegui, Clément Guillou et Nicolas Kienast, signatures connues et reconnues de la 82e promo, investissent le studio- Radio de l’école pour diffuser des chansons paillardes de leur propre invention. Le tout sous les applaudissements complices de-on ne va ne pas les citer- C’est vraiment malin !
01h20: Passé une heure du matin, le « baby-foot » de l’Esj se réanime : quatre étudiants, sans avoir froid aux yeux, s’y offrent une partie pour atténuer les émotions cumulées pendant d’interminables heures de labeur. Un péché mignon mérité et pas de délit du genre « tapage nocturne » retenu. Ouf…
00h40: Inouï : un, l’intervenant préféré de l’Esj, Yves Sécher, garde tout son calme pour mener à bon port le bouclage de La Pression de Mars ; Deux, Geoffroy Defrennes et Emile Josselin ne montrent aucun signe de lassitude pour encadrer les Bloggers de Chroniques de Mars. Que de prouesses…
00h10: C’est permis, après minuit, on vous le raconte : Nous avions recensé quelques larmes (et pas des moindres) versées dans la cour de l’école par deux filles de la section radio qui ont le « sentiment d’avoir tout foiré ». Vérification faite, elles ont réussi des « duplex » plutôt bien étoffés. Alors soit elles pleurent de joie ou elles nous ne disent pas tout. Dans les deux cas c’est émouvant…
23h45: Enfin des sourires qui s’affichent et des rires qui résonnent dans l’enceinte de la gigantesque rédaction qu’est devenue l’Esj à cette occasion des municipales 2008. Pour autant, la mission est loin d’être terminée : beaucoup de papiers, les uns plus pertinents que les autres, sont encore sur le bout des doigts de vos serviteurs noctambules…
23h20:Une fois n’est pas coutume, la plupart des salles où « triment » les étudiants de l’Esj sont dotées de téléviseurs. Louable initiative permettant aux uns et aux autres de suivre, en direct, les « spécial élections » diffusés par les médias …concurrents.
23h00: Partout des camemberts : D’abord sur les écrans des ordinateurs où les rédacteurs de La Pression de Mars finalisent, avant le bouclage imminent, leurs analyses chiffrées de ce premier tour des élections municipales et cantonales 2008 et ensuite sur la buffet improvisé dans le hall de l'école sur lequel ils ( les camemberts) se dressent en maîtres aux côtés du pâté de campagne et d'autres bouteilles dont on taira les appelations. Bon appetit aux uns et aux autres...
22h40: Chapeau bas pour nos confrères de la télé qui ont signé (et continuent de signer) des JT de haute volée. Après Marion Baillot à 20h30 c’est au tour de notre PPDA, Ivan Macaux de tenir en haleine les téléspectateurs et téléspectatrices qui le suivent en en direct du grand amphi
21h50: La tension ne baisse pas dans les coulisses de l’ESJ. Alors un conseil, il ne faut surtout pas « oser » demander le moindre renseignement à vos serviteurs qui, en ce moment, sombrent dans une extrême concentration. Y a pas le feu, c’est vrai, mais une mission est une mission…
21h30:
Vidé par de longs moments d'intervention dans les studios de l'Esj, Frédéric Sawicki a réclamé, et c'est son droit, de quoi se réstaurer. Heureusement que Jérémy Marot (rédacteur de LA PRESSION DE MARS) a eu la présence d'ésprit de l'orienter vers le buffet installé dans le hall de l'école. Nous avions, pour notre part,fait preuve d'assez de pudeur pour ne pas l'y suivre. Nous ne connaissons donc pas ses préférences gastronomiques. Mais c'est un sacré analyste.
>21:00:Un invité de marque est en ce moment même dans les coulisses de l’Esj. Il s’appelle Frédéric Sawicki. Il est professeur agrégé de sciences politiques à l’Université Lille II. Il est spécialiste de l’étude des partis politiques, du militantisme et de la politique locale. Il est l’un des fondateurs de la revue Politix, revue des sciences sociales du politique. Si nos confrères des sections Radio et de télévision ne l’ont pas trop fatigué, nous tenterons d’avoir, à notre tour, ses éclairages. Mais nous promettons rien.
19:25:dans la régie Radio de l'Esj, une voix aux consonnances québéquoises fait écho à celle de Julie Pietri qui présente le journal spécial municiplaes 2008. Après enquête, il s'agit en fait des accents fort sympathiques de Sarah Sanchez -Korichi, une étudiante en 2 ème année, venue justement...Canada. C'est aussi simple que cela.
18.42 :Après la panne de courant de mercredi, et la panne d'Internet vendredi, cette soirée électorale commence sous les meilleures auspices : Internet est en difficulté, l'AFP est en rade. On se souhaite bon courage.
18.00 : Parmi les désagréments observés dans le hall de l'ESJ, ces feuilles de «La Pression de Mars», un quotidien (version pdf) des étudiants de l'école, qui n'arrêtent pas de se décoller du mur. Un mur qu'elles sont censées pourtant orner tout au long des municipales 2008. Un vrai crime lorsqu'on connaît les efforts mis en oeuvre pour les élaborer. A quand du scotch qui scotche ?
Hacene Ouffar

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