Pour le maire de Mons en Baroeul, le projet est trop cher.
Gérard Caudron, René Vandierendonck et Rudy Elegeest: trois maires réélus ou en passe de l'être. Mais aussi trois opposants au projet de grand stade retenu par la communauté urbaine le 1 er février. Que diront-ils au prochain président ou à la prochaine présidente de LMCU? Pour Rudy Elegeest, il est urgent de tout remettre à plat.
Les municipales sont derrière lui. Confortablement réélu avec près de 74% des voix, le maire divers gauche de Mons en Baroeul rélféchit déjà à l'élection du prochain président de LMCU, avec un critère déterminant: le grand stade.
Le 1er février dernier, la communauté urbaine a finalement opté pour le projet défendu par Eiffage, un stade de 50 000 places, qui coûterait environ 14 millions d'euros par an à LMCU pendant 31 ans. En tout 440 millions, sans compter les 200 millions pour les travaux d'accessibilité à l'infrastructure sportive. Beaucoup trop cher pour Elegeest . Pour lui, le plafond à ne pas dépasser, c'est 300 millions.
Il considère en effet que par son ampleur, le projet va conduire à renoncer à d'autres investissements autrement urgents.
Le 1er février dernier, la communauté urbaine a finalement opté pour le projet défendu par Eiffage, un stade de 50 000 places, qui coûterait environ 14 millions d'euros par an à LMCU pendant 31 ans. En tout 440 millions, sans compter les 200 millions pour les travaux d'accessibilité à l'infrastructure sportive. Beaucoup trop cher pour Elegeest . Pour lui, le plafond à ne pas dépasser, c'est 300 millions.
Il considère en effet que par son ampleur, le projet va conduire à renoncer à d'autres investissements autrement urgents.
Le président du groupe Actions et projets pour la métropole a bien l'intention d'"auditionner" les différents candidats à la présidence, en fonction de leur position sur le grand stade.
Cyprien Boganda et Karine Lambin
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